Le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Mohamed Tarek Belaribi, s’est engagé à trouver des solutions concernant les retards de livraison des logements de type LPA (Logement Promotionnel Aidé) et LSP (Logement Social Participatif). Lors d’une séance publique à l’Assemblée populaire nationale, le ministre a annoncé des mesures coercitives à l’encontre des promoteurs immobiliers défaillants.
Des mesures fermes contre les promoteurs retardataires
Lors d’une session présidée par le vice-président de l’Assemblée, Hani Ahcene, Tarek Belaribi a promis des solutions concrètes pour résoudre cette problématique d’ici 2025. Le ministre a particulièrement insisté sur la mise en place de sanctions dissuasives visant les promoteurs immobiliers qui ne respectent pas leurs engagements.
Un engagement ministériel pour 2025
Face aux inquiétudes des citoyens ayant souscrit aux programmes LPA et LSP, le ministère de l’Habitat s’est fixé comme objectif de régulariser la situation durant l’année 2025. Cette annonce s’inscrit dans le cadre d’une stratégie globale visant à accélérer la cadence de livraison des projets de logements en cours.
Des retards qui impactent les grands projets
À l’instar du projet majeur de Sidi Abdallah, plusieurs chantiers d’envergure connaissent des retards significatifs. Ces délais supplémentaires affectent directement des milliers de citoyens en attente de leurs logements, une situation que le ministère entend rectifier par des actions concrètes.
Un contexte global de retards dans les projets publics
Ces retards dans le secteur du logement s’inscrivent dans un contexte plus large de délais observés dans différents projets d’infrastructure, comme le téléphérique de Tizi Ouzou, démontrant la nécessité d’une approche globale dans la gestion des grands projets publics.