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« Découvrez les actes choquants de violence de Dabbaghi Mohammed révélés au grand jour »

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Le tribunal criminel de première instance de Dar El Beida a reporté ce mardi au 16 février l’audience du procès de Dabbaghi Mohammed, un élément terroriste actif qui était en fuite avant son arrestation. L’accusé fait face à de multiples chefs d’accusation liés à des actes terroristes et fait l’objet de plusieurs mandats d’arrêt, ayant déjà été condamné par contumace à la prison à perpétuité.

Une cellule terroriste particulièrement active

L’enquête révèle que l’accusé appartenait à un groupe armé opérant dans les banlieues d’Alger, particulièrement dans la région est et les hauteurs des montagnes de Bouzegza et Kedara dans la wilaya de Boumerdes. Cette cellule, affiliée à la « Brigade des Étrangers » sous la bannière du Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat, a perpétré des actes d’une extrême violence à la fin des années 90 et au début des années 2000.

Des crimes d’une rare violence

Le groupe s’est distingué par des actions particulièrement brutales, notamment des assassinats, des vols à main armée et l’installation de faux barrages routiers. En septembre 2000, une opération majeure a été menée par les terroristes Bourihan Kamal, alias « Abou Hafs », Assas Mokhtar, alias « Abdelkadous », et Tihal Ibrahim.

Série d’attaques contre les forces de sécurité

Les actes criminels incluent l’assassinat d’un imam à la mosquée de Kouba à Bordj El Kiffan, d’un gendarme et d’un policier dans le quartier de Sidi Driss. Le groupe est également responsable de l’attaque d’un membre de la défense civile fin 2001, au cours de laquelle son arme lui a été dérobée.

Un arsenal militaire conséquent

Les investigations ont permis de mettre en lumière l’arsenal dont disposait le groupe terroriste. Dabbaghi Mohammed était en possession d’une arme automatique, tandis que d’autres membres détenaient diverses armes incluant des Kalachnikov, des fusils de chasse et des grenades artisanales.

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Témoignages accablants

Les déclarations d’un repenti, Tihal Abderrazak, alias « Mossaab », qui s’est rendu aux autorités en septembre 2004, ont permis de démanteler le réseau et de comprendre son mode opératoire. Ses révélations ont été considérées comme des charges accablantes contre Dabbaghi Mohammed par la chambre d’accusation.

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