Sur le plateau d’El Heddaf TV, Ali Bencheikh a provoqué l’hilarité générale en questionnant avec humour la communication entre Vladimir Petkovic et Youcef Belaili. L’ancien international algérien a soulevé un point intéressant concernant la barrière linguistique entre le sélectionneur et l’attaquant des Fennecs.
Une remarque pleine d’humour qui soulève des questions
« Petkovic ne parle pas français, Belaili ne parle pas italien… Comment se sont-ils compris ? » Cette intervention spontanée d’Ali Bencheikh sur le plateau d’El Heddaf TV a déclenché un fou rire collectif. La boutade, caractéristique du style direct de l’ancien international, met en lumière un défi réel au sein de l’équipe nationale.
La barrière linguistique au cœur des préoccupations
Depuis sa prise de fonction à la tête de l’équipe nationale algérienne, Vladimir Petkovic n’a pas encore donné d’entretien en français ou en arabe. Cette situation particulière soulève des interrogations légitimes sur la communication avec les joueurs. Youcef Belaili, reconnu pour ses qualités techniques mais peu à l’aise avec les langues étrangères, illustre parfaitement ce défi linguistique.
Un échange qui fait parler
La discussion entre Petkovic et Belaili, évoquée dans les médias, a suscité de nombreuses réactions dans le monde du football algérien. Cette situation met en évidence l’importance de la communication au sein d’une équipe nationale, particulièrement entre l’entraîneur et ses joueurs clés.
Un retour attendu en sélection
Malgré ces questionnements linguistiques, Youcef Belaili fait son retour dans le groupe national. Cette convocation confirme la confiance de Vladimir Petkovic envers le joueur, au-delà des éventuelles barrières de communication. Le statut du joueur au sein de l’équipe reste néanmoins à définir.