La JS Kabylie traverse une période financière délicate avec l’accumulation de dettes importantes. Le club a dû débourser plus de 7 milliards de centimes pour régler le litige avec l’attaquant bosniaque Semir Smajlagic, tandis qu’une nouvelle dette de 5 milliards pourrait s’ajouter avec le cas de l’ancien entraîneur Almeida.
Une intervention salvatrice de Mobilis
Face à une interdiction de recrutement, la JS Kabylie a pu compter sur l’intervention de son propriétaire Mobilis pour régulariser sa situation. Cette aide financière a permis de régler plusieurs litiges en suspens, notamment celui concernant l’attaquant Semir Smajlagic qui avait porté l’affaire devant la FIFA puis le TAS de Lausanne.
Des dettes colossales à éponger
Outre l’affaire Smajlagic, le club devait également solder les situations de l’ancien entraîneur adjoint Pedro Miguel Mimoso et du joueur Boumechra, ce dernier réclamant 700 millions de centimes. Ces dossiers, enregistrés auprès de la CNRL et de la FIFA, bloquaient toute possibilité de recrutement pour le club.
Une nouvelle menace financière à l’horizon
Alors que la JSK pensait avoir surmonté le plus dur, un nouveau défi se profile avec le dossier de l’ex-entraîneur Almeida. Ce dernier réclame plus de 5 milliards de centimes au club, une affaire qui sera tranchée en février. Cette situation rappelle les difficultés persistantes du football algérien confronté à une crise financière majeure.
Le recrutement enfin débloqué
Malgré ces obstacles, la JSK a réussi à lever l’interdiction de recrutement qui pesait sur elle. Cette avancée permet désormais la qualification des nouvelles recrues et du staff technique, dont le nouvel entraîneur allemand Josef Zinnbauer. Une nouvelle encourageante pour le club qui, malgré la crise, continue de performer sur le terrain.