À moins d’un an de la Coupe d’Afrique des Nations 2025 au Maroc, l’équipe nationale algérienne traverse une période délicate, particulièrement concernant le poste de gardien de but. Le sélectionneur Vladimir Petkovic fait face à des défis majeurs alors que ses gardiens titulaires connaissent des moments difficiles dans leurs clubs respectifs.
Une situation préoccupante dans les cages algériennes
La situation d’Anthony Mandrea au Stade Malherbe de Caen soulève de nombreuses interrogations. Les statistiques sont alarmantes avec 24 buts encaissés en 15 matchs et une seule clean sheet. Cette série de contre-performances pourrait remettre en question sa position de titulaire en sélection nationale.
Des alternatives limitées pour le poste de gardien
Alexandre Oukidja, gardien du FC Metz et ancien titulaire lors de la dernière CAN, traverse également une période compliquée. Son absence d’un mois pour blessure et sa perte du statut de numéro un dans son club fragilisent sa position en équipe nationale.
Les défis à relever avant les échéances cruciales
Les prochaines rencontres face au Botswana et au Mozambique, dans le cadre des éliminatoires du Mondial 2026, représentent des échéances cruciales. Vladimir Petkovic devra prendre des décisions importantes concernant la hiérarchie des gardiens, alors que se profile la CAN 2025.
La nécessité d’une solution rapide
Face à ces incertitudes, le staff technique devra rapidement identifier des solutions pour stabiliser le poste de gardien. La question d’un éventuel retour de Raïs M’Bolhi ou l’intégration de nouveaux talents se pose avec acuité à l’approche des prochaines échéances internationales.
Cette situation s’inscrit dans un contexte plus large de préparation pour la CAN 2025, où l’Algérie devra présenter une équipe compétitive pour rivaliser avec les meilleures nations du continent.