Le défenseur international algérien Youcef Atal a dû quitter prématurément ses coéquipiers lors du match face au Botswana, suite à une nouvelle blessure survenue dès la 39e minute de jeu. Cette nouvelle déconvenue s’ajoute à une longue série de pépins physiques qui ont marqué sa carrière internationale, posant désormais la question de son avenir en sélection.
Un historique de blessures préoccupant
Depuis ses débuts en sélection algérienne en 2017, Youcef Atal a manqué pas moins de 14 rassemblements en raison de diverses blessures. Sur huit années de carrière internationale, le latéral droit ne compte que 45 sélections, un bilan relativement faible pour un joueur de son calibre. Sa dernière sortie prématurée face au Botswana vient malheureusement confirmer cette tendance inquiétante.
Un impact direct sur les choix tactiques
La sortie sur blessure d’Atal a contraint le sélectionneur Vladimir Petkovic à revoir ses plans, devant repositionner Aïssa Mandi au poste de latéral droit. Cette situation complique la gestion du groupe, notamment en l’absence de Mohamed Farsi, autre option au poste de latéral droit.
Des difficultés qui s’accumulent
Au-delà de ses problèmes physiques, Atal traverse une période délicate depuis son transfert à Al-Sadd. Lors de son premier match en Ligue des champions asiatique contre Al-Ain, il avait déjà dû quitter le terrain prématurément, illustrant une fois de plus sa fragilité physique.
La situation en sélection nationale
La multiplication des blessures pose désormais la question de la gestion du cas Atal en équipe nationale. Le staff technique doit composer avec l’incertitude permanente autour de sa condition physique, compliquant la planification des matchs et la stabilité de l’équipe.
Les alternatives envisagées
Face à cette situation, l’encadrement technique de la sélection algérienne doit explorer d’autres options pour le poste de latéral droit. La stabilité de l’équipe nationale nécessite des solutions durables, notamment dans la perspective des prochaines échéances internationales.