À quelques jours du match crucial contre le Mozambique dans le cadre des éliminatoires du Mondial 2026, une polémique éclate autour de l’utilisation du stade Hocine Aït-Ahmed de Tizi Ouzou. La Fédération algérienne de football (FAF) et la JS Kabylie s’opposent sur la gestion de la pelouse avant cette rencontre internationale.
Un conflit d’intérêts autour de la pelouse
La FAF souhaite préserver l’état du terrain en limitant son utilisation avant le match international du 25 mars. Cependant, la direction de la JS Kabylie maintient fermement sa position et refuse toute modification de son calendrier de matchs, considérant être dans son droit en tant que club résident.
État actuel des infrastructures
Le stade a récemment accueilli la rencontre JS Kabylie – MC Oran où la pelouse présentait un excellent état. Néanmoins, la FAF exprime des inquiétudes légitimes concernant la détérioration potentielle du terrain suite à une utilisation intensive avant le match international. Cette préoccupation fait écho au succès historique des Verts lors de leur première rencontre dans ce stade en novembre dernier contre le Libéria (5-1).
Tensions autour des entraînements
Un débat supplémentaire émerge concernant l’utilisation du terrain principal pour les séances d’entraînement. Des responsables insistent pour que l’équipe nationale s’entraîne sur le terrain principal, malgré l’existence de terrains annexes. Cette situation a conduit à des tensions administratives entre la Direction de la Jeunesse et des Sports (DJS) de Tizi Ouzou et les différentes parties prenantes.
Impact sur la préparation des Fennecs
Cette situation délicate survient alors que le sélectionneur Vladimir Petkovic prépare son équipe pour une rencontre décisive. La liste des joueurs convoqués pour ce match important a déjà été dévoilée, et l’équipe doit se concentrer sur l’aspect sportif plutôt que sur des considérations logistiques.