Le sélectionneur de l’équipe nationale algérienne, Vladimir Petkovic, fait face à une situation délicate concernant le poste de gardien de but. La décision de revoir l’organisation de ce poste clé intervient après les performances mitigées observées lors des derniers rassemblements.
Une situation complexe pour le poste de gardien
Lors des derniers stages en mars et juin, Vladimir Petkovic avait fait appel à trois gardiens : Anthony Mandrea (Caen), Mustapha Zeghba (Damac), et Oussama Benbot. Aucun de ces portiers n’a réellement convaincu le staff technique, poussant le sélectionneur à envisager des changements significatifs pour ce poste crucial.
Le retour inattendu d’Alexandre Oukidja
Alexandre Oukidja, gardien du FC Metz, sort de sa retraite internationale dans un contexte particulier. Son retour en sélection s’accompagne d’une condition non négociable : occuper le poste de numéro 1. Cette décision marque un tournant dans la gestion du poste de gardien sous l’ère Petkovic.
Les enjeux pour les qualifications
Avec les échéances importantes qui se profilent, notamment les qualifications pour la Coupe du Monde 2026 et la CAN 2025, la stabilité du poste de gardien devient primordiale. L’équipe nationale, actuellement en tête de son groupe qualificatif avec 9 points, ne peut se permettre d’incertitudes à ce poste stratégique.
Les alternatives envisagées
Face à cette situation, plusieurs options sont étudiées par le staff technique. Les noms de Zeghba, Benbot, et Ramdane circulent comme alternatives potentielles. Le sélectionneur devra trancher rapidement pour assurer une stabilité nécessaire à l’équipe nationale.
Cette réorganisation du poste de gardien s’inscrit dans une volonté plus large de Vladimir Petkovic de renforcer l’ossature de l’équipe d’Algérie. Les prochaines échéances internationales serviront de test grandeur nature pour valider ces choix stratégiques.