Le sélectionneur de l’équipe nationale algérienne, Vladimir Petkovic, fait face à des choix cruciaux pour le prochain rassemblement de mars. La convocation de Saïd Benrahma, malgré son transfert en deuxième division saoudienne, et le retour potentiel de Youcef Belaïli cristallisent les débats autour de sa liste.
Une sélection qui divise les observateurs
La décision de maintenir Saïd Benrahma dans le groupe, après son transfert à Neom FC en deuxième division saoudienne, suscite des interrogations. Le choix du sélectionneur, qui sera officialisé lors d’une conférence de presse au stade Nelson Mandela, reflète sa volonté de privilégier la continuité.
Le retour inattendu de Belaïli
La réintégration de Youcef Belaïli dans l’effectif constitue l’autre décision majeure de Petkovic. Le technicien suisse a posé des conditions strictes pour son retour, notamment en termes de régularité et de comportement. Cette décision pourrait créer une concurrence directe avec Benrahma sur le côté gauche de l’attaque.
Un effectif élargi pour évaluer les talents
Vladimir Petkovic envisage de convoquer une trentaine de joueurs pour ce stage de mars. Cette approche, qui pourrait révéler quelques surprises, vise à évaluer un maximum de profils pour renforcer l’équipe nationale.
Les performances comme critère de sélection
Le sélectionneur s’appuie sur des données statistiques concrètes pour justifier ses choix. Benrahma affiche notamment un ratio de trois actions décisives en six titularisations sous sa direction, des chiffres qui plaident en sa faveur malgré son évolution dans un championnat moins relevé.
La vision à long terme de Petkovic
Le technicien suisse cherche à construire un projet durable pour les Fennecs. Sa stratégie inclut l’intégration progressive de jeunes talents tout en maintenant une ossature expérimentée. Cette approche équilibrée vise à préparer l’équipe pour les prochaines échéances internationales.