Le ministre algérien de la Santé, Abdelhak Sayhi, a reçu ce lundi l’ambassadeur du Royaume de Belgique en Algérie, Jean-Jacques Queyria, au siège du ministère. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération bilatérale dans le secteur de la santé et l’exploration de nouvelles opportunités d’investissement entre les deux pays.
Un partenariat stratégique dans le domaine de la santé
Lors de cette réunion, à laquelle ont assisté des cadres de l’administration centrale, les deux parties ont examiné l’état actuel de la coopération entre l’Algérie et la Belgique dans le secteur de la santé. Les discussions ont porté sur les opportunités de partenariat disponibles et la nécessité de les promouvoir et de les soutenir à l’avenir.
Des perspectives prometteuses pour la coopération bilatérale
L’ambassadeur belge a souligné la détermination de son pays à renforcer les relations de partenariat et la coopération bilatérale au service des intérêts des deux nations. Il a notamment salué les progrès réalisés par l’Algérie dans plusieurs domaines, particulièrement dans le secteur économique.
Formation et jumelage au cœur des discussions
Le ministre Sayhi a mis en avant la solidité des relations algéro-belges, exprimant la disposition de l’Algérie à soutenir ce partenariat dans les différents domaines du secteur de la santé, tant public que privé. Une attention particulière a été portée aux domaines de la formation et du jumelage institutionnel.
Des projets concrets en perspective
Une proposition concrète a émergé de cette rencontre : un projet de jumelage entre l’Université Libre de Belgique et l’École Nationale de Management et d’Administration de la Santé. Les discussions ont également porté sur l’ouverture de nouvelles perspectives d’investissement dans le secteur de la santé, mettant en avant les avantages et les garanties offertes par la nouvelle loi algérienne sur l’investissement.
À l’issue de la rencontre, les deux parties ont convenu de poursuivre leur coordination à travers la formation d’une équipe de travail conjointe. Celle-ci sera chargée d’étudier les moyens d’élargir et de renforcer la coopération bilatérale dans le domaine de la santé.