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L’Algérie et la Corée du Sud explorent de nouvelles opportunités d’investissement et de partenariat dans les secteurs de l’ingénierie, de la production d’électricité et des hydrocarbures.

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L’Algérie et la Corée du Sud ont tenu une importante rencontre diplomatique pour explorer de nouvelles opportunités de coopération économique. Les deux pays ont discuté des perspectives d’investissement et de partenariat dans les secteurs stratégiques de l’ingénierie, de la production d’électricité et des hydrocarbures. Cette réunion s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations bilatérales entre Alger et Séoul.

Une rencontre diplomatique axée sur la coopération économique

Le ministre d’État algérien chargé de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab, a reçu l’ambassadeur de Corée du Sud en Algérie, Yu Ki-jun, au siège du ministère. Cette rencontre, qui s’est déroulée en présence de hauts responsables algériens, avait pour objectif d’examiner les relations bilatérales dans les domaines de l’énergie, des mines et des énergies renouvelables.

Les deux parties ont passé en revue les projets en cours en Algérie et exploré les possibilités de renforcer la coopération bilatérale dans ces secteurs vitaux. Un accent particulier a été mis sur les perspectives d’investissement et de partenariat dans les domaines de l’ingénierie, de la production d’électricité et des hydrocarbures.

Des opportunités d’investissement dans des secteurs clés

Les discussions ont porté sur les opportunités de collaboration dans l’ingénierie, la production d’électricité et le secteur des hydrocarbures. Une attention particulière a été accordée à la production et au traitement des hydrocarbures, ainsi qu’aux possibilités de coopération dans le domaine des énergies nouvelles et renouvelables.

Les deux pays ont également examiné les perspectives de coopération dans le développement de l’énergie solaire photovoltaïque, de l’hydrogène vert et des technologies de stockage d’énergie. Ces domaines représentent des axes stratégiques pour l’avenir énergétique de l’Algérie.

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Le secteur minier, un axe de coopération prometteur

La réunion a aussi permis d’explorer les opportunités de coopération et d’investissement dans le secteur minier. Les discussions ont notamment porté sur l’exploration et l’exploitation des minéraux stratégiques, ainsi que sur les projets miniers structurants que l’Algérie cherche à développer pour renforcer son économie nationale.

L’Algérie a récemment investi massivement dans le secteur minier, avec notamment un investissement de plus de 900 milliards de dinars au cours des cinq dernières années pour moderniser ses infrastructures.

Vers un partenariat mutuellement bénéfique

Les deux parties ont souligné l’importance de développer des partenariats mutuellement bénéfiques, axés sur le transfert de connaissances et d’expertise, la formation et le renforcement de l’intégration nationale dans les projets énergétiques et miniers. Elles ont exprimé leur volonté commune de renforcer la coopération dans les projets contribuant au développement durable et au transfert de technologie.

Cette approche s’inscrit dans la lignée des récentes initiatives de l’Algérie pour attirer les investissements étrangers, comme en témoigne l’accueil récent d’une délégation du constructeur automobile chinois Geely par l’Agence Algérienne de Promotion de l’Investissement.

Un engagement renouvelé pour le renforcement des relations bilatérales

L’ambassadeur de Corée du Sud a souligné que cette rencontre reflète la volonté ferme de renforcer les relations entre la Corée du Sud et l’Algérie. L’objectif est d’élargir les perspectives de coopération et de partenariat dans les secteurs stratégiques, au bénéfice des intérêts communs des deux pays.

Cette dynamique de coopération s’inscrit dans une stratégie plus large de diversification économique de l’Algérie, qui cherche à moderniser ses infrastructures et à attirer des investissements étrangers. À titre d’exemple, la Société Nationale des Transports Ferroviaires (SNTF) a récemment annoncé un investissement de 138 milliards de dinars pour renouveler son parc d’équipements, illustrant l’ampleur des projets de modernisation en cours dans le pays.

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