La JS Kabylie fait face à une nouvelle crise financière majeure alors qu’elle vient tout juste de régler une dette de 7 milliards de centimes dans l’affaire Smajlagic. Le club devra potentiellement débourser 5 milliards supplémentaires pour le litige concernant l’ancien entraîneur José Almeida, dont le verdict est attendu en février.
Un règlement coûteux des anciennes dettes
Grâce à l’intervention de Mobilis, nouveau propriétaire du club, la JSK a pu solder plusieurs dettes importantes envers d’anciens joueurs et membres du staff technique. Le cas le plus onéreux concernait l’attaquant bosniaque Semir Smajlagic, pour lequel le club a dû verser plus de 7 milliards de centimes suite à la décision du TAS de Lausanne.
L’affaire Almeida : une nouvelle menace financière
Alors que la situation semblait s’améliorer, un nouveau dossier menace les finances du club kabyle. L’ancien entraîneur José Almeida, après son limogeage par l’ancienne direction, a obtenu gain de cause auprès des instances compétentes. Le verdict final, prévu pour février, pourrait contraindre la JSK à verser plus de 5 milliards de centimes.
Des créances multiples à gérer
D’autres anciens membres du club ont également obtenu des dédommagements significatifs. Pedro Miguel Mimoso, ex-adjoint de José Riga, a reçu plusieurs centaines de millions de centimes, tandis que les créances de Boumechra s’élevaient à près de 700 millions de centimes.
Impact sur le développement sportif
Ces obligations financières impactent directement la capacité du club à se renforcer. L’arrivée de l’entraîneur allemand Josef Zinnbauer et la qualification des nouvelles recrues ont été temporairement bloquées jusqu’au règlement des litiges. À ce sujet, vous pouvez consulter les dernières déclarations de Josef Zinnbauer sur la situation de la JSK.
Perspectives d’avenir
Malgré ces difficultés financières, la JSK maintient ses ambitions sportives. Le club vise une qualification pour une compétition continentale la saison prochaine, comme en témoigne la stratégie adoptée par la direction. La levée de l’interdiction de recrutement permet désormais au club de se concentrer sur ses objectifs sportifs.