Le transfert de Zineddine Belaïd vers la JS Kabylie vient de connaître un revirement spectaculaire. Alors qu’un accord semblait trouvé entre toutes les parties, l’opération a brutalement été stoppée en raison d’un blocage financier inattendu concernant la lettre de libération exigée par le club belge Saint-Trond VV.
Des négociations initialement prometteuses
Les discussions entre la direction de la JS Kabylie et le camp de Belaïd s’étaient déroulées de manière positive. Les négociations, menées notamment par Hakim Medane et Karim Doudane, avaient abouti à un accord après environ trois heures d’échanges constructifs avec le père du joueur, également son agent.
L’obstacle financier qui change tout
La situation a basculé lorsque Saint-Trond VV a réclamé le paiement d’une somme pour la lettre de libération du joueur. La JSK comptait sur son sponsor principal Mobilis pour régler ce montant, mais l’opérateur téléphonique n’a pas donné suite à cette demande de financement.
Une situation qui rappelle d’autres rebondissements du football algérien
Ce revirement n’est pas sans rappeler d’autres situations similaires dans le football algérien, comme le cas de Riyad Mahrez avec Al Ahli, ou encore le récent cas d’Amine Gouiri.
Les options restantes pour la JSK
Face à cette impasse, plusieurs possibilités s’offrent à la JS Kabylie. Le club pourrait tenter de renégocier les conditions financières avec Saint-Trond VV ou chercher des sources alternatives de financement. À l’image de certains transferts réussis dans le championnat algérien, une solution pourrait encore être trouvée avant la fin du mercato.