L’artiste algérienne Beyouna sort de son silence après les nombreuses rumeurs concernant sa santé et sa prétendue disparition qui ont circulé sur les réseaux sociaux ces dernières heures. Face aux inquiétudes grandissantes, la célèbre comédienne a choisi de s’exprimer publiquement pour démentir catégoriquement les allégations de séquestration et de mauvais traitements.
Une controverse déclenchée par des déclarations publiques
L’affaire a débuté lorsque l’artiste Nawal Zater a évoqué, lors d’une émission télévisée, la mystérieuse disparition de Beyouna, suggérant une possible exploitation ou séquestration. La situation s’est davantage compliquée quand Amal, la fille de Beyouna, a affirmé à la télévision qu’elle ne pouvait plus contacter sa mère, accusant la personne chargée de s’occuper d’elle de la maltraiter et de lui administrer des substances illicites.
Beyouna rétablit la vérité sur El-Nahar
Pour mettre fin aux spéculations, Beyouna est apparue sur la chaîne El-Nahar où elle a formellement démenti l’ensemble des accusations. Elle a assuré être en sécurité et a défendu la personne qui s’occupe d’elle, la décrivant comme une figure fraternelle qui a tout sacrifié pour prendre soin d’elle.
État de santé et bien-être confirmés
Concernant son absence de réponse au téléphone, l’artiste a expliqué que c’était son choix personnel de limiter les communications téléphoniques. Elle a également confirmé être en bonne santé, déclarant avec son humour caractéristique : « Je suis toujours en forme et fidèle à moi-même ». Quant aux allégations de consommation de substances illicites, elle a répondu avec légèreté : « Les drogues, c’est elles qui me fuient ».
Cette affaire s’inscrit dans un contexte plus large de lutte contre la désinformation, rappelant l’importance de la vérification des informations avant leur diffusion sur les réseaux sociaux. Des cas similaires de fausses allégations ont récemment fait l’actualité, comme l’affaire Wahida Krouj, démontrant la nécessité d’une information responsable et vérifiée.